Ah ! si seulement il existait un moyen vraiment efficace pour endormir bébé ! Et si ce moyen était le rituel du coucher ? Les bébés aiment retrouver, chaque jour, ce parcours balisé pour les aider à dormir sereinement. Comment mettre en place ce moment de transition entre temps d’éveil et temps de sommeil ? On vous en dit un peu plus sur le rituel du coucher !
Le rituel du coucher : à partir de quel âge commencer ?
À sa naissance, bébé dort au moins 16h par jour et ne fait pas de différence entre le jour et la nuit. Il paraît donc difficile de mettre en place un rituel du coucher. Mais, vous pouvez faciliter son endormissement en chantant une berceuse à votre enfant ou en lui récitant une comptine. Pour créer un environnement propice à son sommeil, vous pouvez placer une veilleuse près de lui. La lumière discrète de la veilleuse Little Moon Pabobo le rassure sans le déranger. Astucieuse à plus d’un titre, elle vous permet de venir le voir pour vérifier que tout se passe bien sans le réveiller, de le nourrir et de le changer sans avoir besoin d’allumer.
À partir de 3-4 mois, votre bébé commence à adopter un rythme nuit-jour, à dormir un peu moins dans la journée, et à faire ses nuits. Vous pouvez alors imaginer un rituel du coucher qui pourra évoluer au fil du temps pour s’adapter aux besoins de votre enfant. Bébé comprendra vite que le rituel annonce le moment d’aller dormir, il s’y habituera, et l’attendra. Le rituel du coucher le tranquillise, lui indique que tout va bien, qu’il peut se laisser glisser sans crainte dans les bras de Morphée.
Le rituel du soir, un moment de partage parent-enfant
Les enfants apprécient le rituel du coucher. Les parents aussi ! C’est un grand moment de complicité entre votre enfant et vous, une occasion de passer un bon moment ensemble. Ces rituels font de beaux souvenirs d’enfance. Votre enfant se souviendra de ces moments lorsqu’il sera adulte, et vous aussi, aimerez les remémorer. « Te souviens-tu de la veilleuse Tortue Pabobo posée près de ton lit ? » « Oh oui ! je me souviens de l’univers aquatique projeté au plafond de ma chambre, des poissons orange évoluant dans des vagues bleues, et de la mélodie sous-marine qui les accompagnait, tout un monde qui qui m’aidait à m’endormir paisiblement. »
Quel rituel du coucher pour votre bébé ?
Vous pouvez imaginer les différentes étapes du rituel en fonction des préférences de votre bébé et de vos habitudes. Pour les tout-petits, il peut inclure un bain, un biberon ou une tétée, une berceuse, la lecture d’une histoire, un câlin, la fermeture des volets de la chambre, la mise en marche d’une veilleuse… Ce ne sont là que quelques exemples. Vous pouvez imaginer bien d’autres étapes.
L’important est qu’elles soient toujours identiques, répétées chaque soir à le même heure, et dans le même ordre. Ne compliquez pas trop le rituel quand même ! Il doit rester simple pour être facile à reproduire où que vous soyez. De cette façon, quand vous vous déplacerez avec votre bébé (en vacances par exemple), vous pourrez continuer à pratiquer facilement le rituel, et votre bébé continuera à dormir comme un ange !
Le rituel du coucher : quel est le meilleur tempo ?
Les tout-petits apprécient la régularité. En prenant l’habitude de coucher votre enfant tous les jours à la même heure, vous lui offrez des conditions favorables à sa stabilité émotionnelle. Rassurez-vous ! cela ne signifie pas que c’est un drame si votre bébé n’est pas encore couché à 20h sonnantes ! Pour plus de commodité, vous pouvez parfaitement choisir une tranche horaire qui vous convient : 19h30-20h, 20h-20h30, par exemple. L’important est de vous y tenir.
Vous pouvez prévenir votre bébé que c’est bientôt l’heure d’aller dormir en utilisant une formule, toujours la même : « C’est bientôt l’heure du dodo », « Il est temps d’aller dormir »… Le rituel du coucher doit durer au moins 20 minutes pour laisser à bébé le temps de bien se préparer au sommeil, mais ne doit pas s’éterniser non plus. Donc, 30 minutes maximum, pas plus ! Consacrer trop de temps au rituel du coucher pourrait inquiéter l’enfant. Pourquoi tant de préparatifs pour aller au dodo ? Ne serait-ce pas un peu “risqué” de s’endormir ?…
Pourquoi intégrer des sons au rituel du coucher ?
Des sons pour mieux s’endormir… la proposition peut sembler contre-intuitive. On croit souvent qu’il n’y a rien de mieux que le silence pour favoriser l’endormissement. Pourtant, pendant sa vie intra-utérine, bébé est exposé à toutes sortes de bruits venant de l’extérieur. L’expérience du silence après sa naissance n’a donc rien de très rassurant ! Certaines musiques, ou certains sons, ont un effet calmant et peuvent être intégrés au rituel du coucher de votre enfant. Ainsi, le son d’un carrousel musical le bercera et l’aidera à s’endormir.
Des bruits blancs et roses pour aider bébé à s’endormir
Depuis quelque temps, on s’intéresse à d’autres sons : les sons blancs et roses, qui font des merveilles pour endormir les bébés. Ces bruits ont des caractéristiques communes. Ils sont monotones, répétitifs, un peu… hypnotiques. Les bruits blancs et roses regroupent des sons naturels, comme celui de la pluie, d’une chute d’eau ou des vagues, mais aussi, et c’est sans doute plus surprenant, des bruits artificiels, celui d’un aspirateur, d’un sèche-cheveux ou d’une machine à laver… Pour certains bébés, il n’y a rien de mieux pour s’endormir que leur doux ronron !
La peluche Béluga, une veilleuse qui produit des sons blancs et roses
La peluche Béluga de Pabobo est un compagnon rassurant pour votre bébé, dès sa naissance. Elle fait fonction de veilleuse pour créer une atmosphère apaisante dans la chambre de votre enfant et produit une collection de bruits blancs et roses : battements de cœur intra-utérin, pluie, vagues, aspirateur, ventilateur, machine à laver et nuit d’été, ainsi que 2 berceuses. Avec sa petite baleine blanche à ses côtés, votre bébé peut s’endormir paisiblement. S’il se réveille, la veilleuse peut se rallumer automatiquement grâce à l’option « réveil aux pleurs » et s’arrêter seule au bout de 20 minutes.
Rituel du coucher : quelles sont les choses à ne pas faire ?
Pour favoriser pleinement l’endormissement de votre bébé, le rituel du coucher doit être un moment calme. Vous devez donc éviter d’y intégrer des activités trop stimulantes : musique violente, jeu excitant, séance de chatouilles, bataille d’oreillers (pour les plus grands)… Pendant le rituel, ne parlez pas trop fort. Adoptez une voix douce, propice au sommeil. Les chansons et les rires ne sont pas interdits. Bien au contraire ! Mais, une fois de plus, ils ne doivent pas trop stimuler l’enfant. Les écrans (télévision, ordinateur, tablette et téléphone) émettent de la lumière bleue, qui perturbe la production de mélatonine, indispensable à l’endormissement, et sont donc à proscrire.
Bébé grandit, le rituel du coucher évolue
En grandissant, votre enfant a toujours besoin de se sentir en sécurité pour s’endormir paisiblement. Le rituel du coucher continue de l’accompagner tout en se transformant. Certaines étapes sont remplacées par d’autres, plus adaptées à l’âge de votre bambin.
Celui-ci peut désormais participer au rituel du coucher de façon active : ranger ses jouets, se brosser les dents, raconter les petits et grands événements de sa journée, dire au revoir à Flic et Flac (les poissons rouges), aux peluches ou aux jouets… des rites importants pour clore la journée et passer une bonne nuit! Après cela, il est temps de rejoindre son lit. En compagnie de son doudou, c’est encore mieux ! Votre enfant a encore quelques secrets à lui glisser à l’oreille… mais déjà, il s’endort…
Pour bien dormir dans la journée, le rituel de la sieste
Les siestes de la journée sont importantes pour préparer bébé à mieux dormir le soir, même si ce n’est pas toujours ce que l’on croit. Si bébé n’a pas assez dormi dans la journée est qu’il est fatigué, il aura du mal à trouver le sommeil au moment du coucher. Les siestes peuvent elles aussi s’accompagner d’un rituel pour faciliter l’endormissement du bambin. Le rituel de la sieste est différent de celui du coucher, et aussi plus court. Quelques minutes suffisent pour préparer votre bambin à une sieste réparatrice.
Quelles étapes inclure dans le rituel de la sieste ? Vous pouvez changer la couche de votre bébé (ou l’accompagner aux toilettes s’il est plus grand), lire une histoire, réciter une comptine ou fredonner une chanson… Ne fermez pas les volets, mais tirez les rideaux pour laisser entrer un peu de lumière dans la pièce, et parlez à votre bébé à voix haute pendant son rituel. Cela l’aide à différencier le jour et la nuit, la sieste et le dodo. Vous pouvez terminer par une formule pour le rassurer, toujours la même : « A tout à l’heure. Je suis tout près de toi, et je viens te chercher après la sieste. » Cette petite phrase est particulièrement importante entre 9 et 12 mois, quand l’enfant est dans sa phase de peur de l’abandon.
Le rituel du soir pour aider à surmonter les peurs de l’enfance
Le rituel du soir est particulièrement important entre 9 et 12 mois. Même un bébé qui s’endormait facilement jusque-là peut signaler bruyamment son mécontentement quand ses parents le mettent au lit et le laissent seul. Que se passe-t-il donc à cet âge-là ? C’est le moment où le bébé commence à éprouver ce qu’on appelle la peur de l’abandon. S’endormir, c’est accepter de se séparer de ses parents et prendre le risque de ne pas les retrouver au réveil. Le rituel du coucher aide le bébé à surmonter son angoisse, le détend et le sécurise.
L’enfance est peuplée de peurs. Plus tard, vers 2 ans, l’enfant a fréquemment peur de créatures imaginaires ou d’animaux (fantômes, sorcières, loups…), ou de personnages, à priori plutôt sympathiques, comme le père Noël ou les clowns. Il peut développer d’autres frayeurs : celle de bruits inconnus, ou encore, la peur du noir. A cet âge-là, l’imagination prend le pouvoir, et l’enfant a tendance à mêler ce qui est réel et ce qui ne l’est pas.
La nuit est propice a bien des fantasmes. Les ombres peuvent facilement se transformer en créatures monstrueuses. Même si le danger n’est pas réel, la peur, elle, l’est vraiment. Il faut la prendre en compte, en parler avec votre enfant, ne pas se moquer, ni se fâcher, mais le rassurer pour l’aider à surmonter ses angoisses. Plus il se sentira compris, plus il aura de force pour les vaincre.
Comment chasser les créatures qui font peur à votre enfant ?
Certains parents ont leurs petites astuces pour chasser les vilains monstres : un spray anti-monstres, une formule magique, une boîte pour piéger les créatures, soigneusement fermée à clé pour éviter qu’elles s’échappent… à chacun sa méthode ! Ses trucs ont l’inconvénient de créditer l’idée que les monstres existent vraiment. C’est donc une arme à double tranchant. C’est pourquoi il est préférable de placer une petite veilleuse près de votre enfant, qu’il pourra utiliser si une créature vient troubler son sommeil.
Adieu les monstres ! La veilleuse Little Moon veille sur votre enfant
La veilleuse Little Moon Pabobo est toute petite mais d’une redoutable efficacité pour chasser les méchantes créatures de la nuit, qui, comme chacun le sait, ont horreur de la lumière. Grâce à elle, votre enfant prend le contrôle de la situation, ne se laisse plus impressionner, chasse les horribles choses, et se rendort paisiblement.
Cette stratégie sera encore plus efficace si vous amenez votre enfant à parler de ses peurs le lendemain. Vous pouvez l’inciter à leur donner forme en dessinant, en jouant avec ses poupées, ses peluches ou des marionnettes, ou en créant des figurines de pâte à modeler… Il pourra se représenter en héros terrassant les vilaines créatures, et être bien mieux armé pour les vaincre quand elles oseront réapparaître pour troubler son sommeil ! Non mais !
